Les bébés contaminés in utero par le virus du SIDA auraient une meilleure chance de survie s’ils reçoivent un traitement dès leurs premières semaines de vie : ils ne seraient que 4% à décéder des conséquences du virus si la prise en charge est précoce (avant la manifestation des premiers symptômes), contre 16% si la prise en charge est tardive. Actuellement, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) préconise toujours un processus de traitement à partir des premiers signes de la maladie, c'est-à-dire dès que le système immunitaire présente des signes de faiblesse. Chaque année, 500 000 enfants séropositifs voient le jour.